Présentation de Gabrox

Age :20

Nom: Gorgorax
Prénom: Gabrox

Clan (c'est maintenant ou jamais mais respectez les regles les concernant) : Gorgorax

Caractere (5 lignes minimum) :Pas très intelligent mais ayant une force incroyable il à vécut un peu partout a cause de sa vit de mercenaire ce qui lui a donné une certaine ouverture d’esprit .
En effet à par pour les femmes, les enfants et tous les hommes qui ne lui ressemble pas il accepte toute les différences.
Il déteste l’eau car il ne sait pas nager, en fait il déteste tout simplement la nature et n’apprécie que les bourgades surpeuplé car pour lui c’est le signe que sont pillage lui rapportera un paquet d‘or.
Il déteste qu’on lui marche sur les pied et tue quiconque si essaye il n’a aucun respect pour les autres sauf pour les personnes qui font tout pour assouvir leur avidité d’or ou de pouvoir.
Les seules choses qu’il aime dans la vie c’est une bourse bien pleine (surtout s'il vient de la voler), une bonne beuverie se terminant par une bagarre, voir son épée dépasser du torse de son ennemie mais surtout voir une ville brûler un soir de pleine lune (eh oui c un grand romantique).
Il possède un très mauvais caractère et c’est un très mauvais perdant alors qu’il n’est doué en rien ce qui provoque inévitablement de nombreuse bagarre.
Pas très malin il est par contre d’une totale loyauté avec ces commanditaire, Loyal certe mais seulement parce qu'il est trop fainéant pour trahir, sauf si on ne le paye pas car là il devient très très méchant.
Dernier point il n’a aucune notion du bien et du mal IL tue femme et enfant s’il le faut.(vous l'avez peu être déjà remarquer)

Description (pas de voir avatar + 3 lignes minimum) :Gabrox mesure 2.10m pour 95 kilos, avec des cheveux brun couper court,, il à également de terrifiant yeux noir qui montre bien sa terrible stupidité en revanche il possède une musculature et un beau visage qui aurait put plaire au dame si il ne possédait pas aussi des tatouages tribaux sur tout le corps, ces dernier aurait put être beau si il avait était bien fait mais hélas pour mon prodigieux héros ce ne fut pas le cas.Il porte une armure en fer avec une cape lui donnant un pur style (c ce qu’il pense). Il possède également de nombreuse cicatrice sur le torse du à ces nombreux combat mais la plus terrible est celle dans son dos qui va du bas de sa nuque jusqu’en haut de sa hanche.
Elle provient d’un combat contre un mendiant aveugle, ce dernier souhaitait en effet que Gabrox lui donne une petite pièce mais celui-ci déteste donner son argent donc il refusa tout naturellement dans un torrent d’injure puis il s’en alla en pensant lui avoir appris politesse.
MAIS le mendiant furieux de s'être ainsi fait insulté, se leva attrapa son couteau et se jeta sur le dos du brave héros, après un instant de surprise Gabrox attrapa la tête du miséreux et la brisa comme une coquille de noix

Background (indiquez si c'est un médical-nin ; 10 lignes minimum) : Il a suivi un cursus somme toute assez classique; après une enfance déprimante à souhait, il a accompagné sa famille qui épisodiquement écumait (piller, violer, tuer) le pays de la terre, ce qui lui avait valu malgré son jeune âge (10 ans ) une flatteuse réputation de brute.
Puis il a vu son clan massacré sous ses yeux par un mystérieux cavalier à l'armure noire dont, à ses moments perdus, il cherchait à se venger.
Mené en déportation dans differentes prison, il eut tout loisir de cultiver sa musculature avant que des marchands d'esclaves ne le remarquent et ne le rachètent pour en faire un gladiateur dans une de ces petites arènes itinérantes qui sont la spécialité des terres du nord.
Il se perfectionna alors au métier des armes, et apprit le peu qu'il savait sur le monde avant de s'évader et d'embrasser la carrière de mercenaire dans les differents village qui peuple ce continent.
Il prit donc part a l'age de 15 ans à sa première guerre, un conflit aussi atroce que bref entre le pays de l'eau et celui du riz dont les enjeux étaient le trône bancal et la couronne en plomb d'un pays ridiculement petit.
Le destin et surtout la chance voulut qu'il choisisse le camp du vainqueur et c'est fièrement qu'il entra dans la capitale du pays en flammes, à la tête de la trentaine de bons à rien qu'on lui avait confiés.
Après une semaine de beuveries, l'esprit embrumé par le vin (c'est à dire à peine plus embrumé que d'habitude) et suite à un pari d'ivrogne, Gabrox succomba aux charmes par ailleurs sujets à controverse de la princesse Ynari, soeur du seigneur du pays vainqueur.
En effet elle n'est pas ce que l'on appelle une beauté, elle est plutôt ronde sans être vraiment grosse , un gros nez totalement disproportionné par rapport à son petit visage de porcelaine, une jambe amputée à partir du genou à cause d’une gangrène avancé.
Mais ce n’est pas sa qui va doucher son ardeur donc après qu'il lui eut offert d'inoubliables instants de volupté, il fut surpris par la garde qui ne lui laissa guère le temps d'expliquer que la belle ne lui avait pas fermé la porte (ce qu'en fait il n'avait pas vérifié, étant passé par la fenêtre), qu'elle s'était lascivement alanguie dans ses bras (après qu'il l'eut assommée, il est vrai) et qu'elle ne s'était pas explicitement refusée à lui (la pauvrette étant muette de naissance).
Quoi qu'il en soit, Gabrox sauta sans blessure de la plus haute tour du palais - soit, il était au premier étage - et s'en fut vers le nord où il savait trouver une Forêt qui lui fournirait, il y comptait, un abri.
Or il se trouvait que la dite Forêt avait connu des jours meilleurs.
Au temps jadis en effet s'étaient dressés là, tels autant de soldats immobiles, immence et éternels, des millions d’arbres géants aux lourdes branches chargées d'épines longues et noires et de chatons pelucheux, mais la main avide de l'homme, la mandibule vorace des insectes , à moins que ce ne fussent les pluies acides, avaient ruiné à jamais ces cathédrales de verdure dont il ne subsistait que troncs moisis et bosquets chenus.
Gabrox courait donc de toute la vitesse de ses jambes, et dieu sait qu'il pouvait courir vite dans les plaines glacées de sa terre natale, mais le plateau où il se trouvait était accidenté, couvert de divers résidus végétaux et il était pieds nus, car ses sandales étaient restées dans la chambre de la princesse. Le reste de ses vêtements aussi, d'ailleurs.
De toute manière, le plus piètre cavalier ira toujours plus vite que le meilleur des coureurs, et les Gardes qui le suivent savent, entre autres choses, monter à cheval. Gabrox atteignit un providentiel vallon dont il dégringola plus qu'il ne dévala le flanc escarpé et - miracle - boisé. Les chiens l'y suivirent bientôt.

En bas dans le ravin, coulait un ruisseau, ce qui est assez cohérent. Les chiens s'arrêtèrent sur la rive, traversèrent dans les deux sens, coururent en rond et gémirent en attendant que leurs maîtres cavaliers arrivent.
- Il a dû descendre le long du ravin, sire, pour troubler les chiens, fit le capitaine de la garde, martial.
- Ou bien le remonter, nota le seigneur du pays de l‘eau, maussade. Il se serait bien passé de cette expédition punitive dans la campagne, il y avait tant à faire en ces lendemains de victoire. Heureusement qu'il pouvait compter sur un bourreau dévoué et dur à la tâche.
- Habituellement, sire, les animaux sauvages pris dans une telle situation descendent les rivières, ils vont plus vite.
- Et ils se font prendre car tous les chasseurs connaissent le coup. Notre homme est rusé, il a du souffle, il a du aller en amont pour nous tromper. En avant!
Et les chevaux repartirent dans de grandes gerbes de boue et d'eau glacée.
Hataki était un aristocrate volontaire et intelligent, mais avait cependant un défaut, bien excusable vu son métier : il méprisait au plus haut point les gens du commun, auxquels il se mêlait le moins possible, préférant frayer avec les gens de sa caste car parfois ils se lavent.
Ainsi durant la guerre éclair qui l'avait porté sur le trône, avait-il peu fréquenté sa propre armée, et encore moins les mercenaires étranger qu'il avait engagé.
L'eut-il fait qu'il se fut vite rendu compte d'une étrange particularité anatomique: la cervelle de Gabrox était aussi lisse que son biceps était noueux.
Il avait en effet suivi sans se poser de question tout à la fois son instinct et la pente, ce qui l'avait conduit au bord d'un lac. L'endroit était inquiétant, rien ne poussait sur la berge boueuse qu'on eut pu appeler plante, une brume matinale flottait au-dessus de l'eau, lui donnant une teinte grisâtre.
A un quelque mètres des premières vases émergées, une barque minuscule au bois noirci par la putréfaction servait de support à un personnage voûté, entièrement recouvert d'un manteau noir et tenant un long bâton dans sa main gantée. Sa capuche baissée ne laissait rien voir de son visage, et sans doute était-ce mieux ainsi.
Gabrox sauta prestement sur la barque d'une stabilité étonnante pour sa taille, et ordonna au passeur de sa puissante voix:
- Là-bas !
Il désignait l’autre côté du lac d'un index impérieux.
Et le passeur appuya sur son bâton, propulsant son embarcation à une vitesse surprenante. Ils n'étaient déjà plus à portée de flèches lorsque les cavaliers et leurs chiens déboulèrent sur la rive et Gabrox, debout à l'arrière du frêle esquif, les salua de son regard de fer et d'un vigoureux bras d'honneur.
Après une longue traversé il prit la direction de la ville la plus proche pour y faire un bon somme et y quérir la bagarre. Ainsi se termine l’une des très nombreuses aventures de Gabrox ……

Ensuite pendant plusieurs années il continua sa vie de dangereux mercenaire avec quelques bagarres dans les bars et aussi des petits meurtres lorsqu'il s'ennuyer

Poste RP (petit bout de RP pour évaluer votre niveau):

Bienvenue Gabrouné ! :p


Tu postules pour être Kage ?

je sais pas encore ma petite qeqete, je pourrai me connecter que le week end je pense donc bon sa va etre chaud d'être Kage

Lol oué peut être ou aussi peut être Kazekage^^

Je te verrais bien Hokage moi ...

Lol non faut avoir un bon niveau pour l'être ! :p

Sinon, t'as fait ta fiche technique ?

non mais j'espéré créer mon clan et avoir des technique totalement inventé

tu tentes le poste de Kage? Fait attention certaines place ont été réservées! j'aurait dû être Hokage mais la place était réservée...

Sur ce...

Bienvenue et bon RP

Uzumaki Naruto a écrit:

tu tentes le poste de Kage? Fait attention certaines place ont été réservées! j'aurait dû être Hokage mais la place était réservée...

XD le rang d'Hokage m'as toujours était attribué c'est pourtant ce que j'avais dit !
Mais tu n'aurais jamais dû être Hokage vu que j'ai toujours était Hokage !
Et Gabrox est déjà Kage lui aussi ! Mdr

Allez Gabrox mets ta force aux côtés de Konoha en allant à Suna ! lol
( t'auras un super bon allié, mais faudra te farcir katana .... ~.~ )^^

Qeji a écrit:

( t'auras un super bon allié, mais faudra te farcir katana .... ~.~ )^^

PTDR


Elle est pas si méchante que ça quand même

* Voyant qu'il y a Katana sur le forum *

" Oh oui elle est très gentille ! "

XD

Bon j'ai repris mon ancienne histoire, je voulait en faire une nouvelle mais avec ces cour de Mer.. et comme j'ai bizuté les premiére anné de mon bts j'ai pas eu le temps désolé. Sinon Sosori j'ai presque imaginé toute mes techniques, je te les envoie demain je pense.

A et voici mon test rp:
Gabrox, Héros solitaire pour certains, horrible criminel pour d’autres et gros con pour la plupart.


Après de nombreuse et dangereuses missions, il était complètement épuisé, ses réserve de chakra au plus bas.
C’est pourquoi il se rendi dans le plus proche village pour prendre un repos bien mérité.
Arrivé dans un petit village de pécheur, le chef de l’agglomération l’intercepta immédiatement, il connaissait la mauvaise réputation du mercenaire mais n’avait pas le choix.
Il lui expliqua donc que des bandit réclamait que le village leur verse un tribut mais n'ayant pas les moyens, ils redusérent, et peut aprés la fille du chef fut enlevé.
Le vieil homme expliqua également qu’une expédition des hommes les plus fort du village était partit pour la retrouver mais aucun n’était revenu.
C’est pourquoi il offrait tous ce que le village possédait pour qu’il lui ramène sa fille, découvre se qui est arrivé à l’expédition et enfin tuer tous les bandits.
Gabrox hésita longuement, il était très fatigué mais la promesse d’un jolie paquet d’or lui fit oublier toute ses hésitations et il se lança dans l’aventure.
Le vieux chef lui avait également signalé qu’il trouverait les bandits dans leur campement prés d’une vielle ville abandonné.
Gabrox avait noirci la lame de ses armes avec du charbon pour que le clair de lune ne se reflète pas dessus. Tous les sens en alerte il avança sur la pointe des pieds, guettant un indice de présence ennemie.
Peu à peu, le paysage changea autour de lui. Le sol devint spongieux sous ses pieds, les plaines cédant la place à un terrain marécageux.
L’aube se levait quand il arriva, tel une sanglante promesse, le soleil annonçait une journée de carnage.
Il trouva au sommet d’une petite colline un modeste bosquet, d’où il pouvait observer sans être vu.
Alors que le soleil commençait son ascension dans le ciel, il vie le campement ennemie émerger de la brume
Un amas de bâtiments sans étage, grossières huttes de bois de formes et de taille variées, s’étendait aussi loin que portât sa vision dans l’air corrompue du marécage.
Toutefois il ne se préoccupa pas des ces maisons vide mais porta toute son attention au deux masures qui se dressaient un peu à l’écart.
La première minuscule, ne possédant probablement qu’une seule pièce et la seconde beaucoup plus spacieuse orné de crâne humain, appartenant sûrement à l’expédition chargé de retrouver la fillette.
Il repérât un dizaine de bandits entrants dans la grande hutte et seulement deux dans la petite, après avoir attendu une heure et n’ayant repéré aucun mouvement depuis, il s’élança.
Il progressait d’un arbre à l’autre. Lorsqu’il n’y en eu plus fonça vers une rangé de buissons, la dernière couverture possible avant d’atteindre les huttes.
Alors il s’accroupit pour observer ce qui l’attendait.
De sa cachette, il distinguait quatre gardes enveloppés de fourrures pour se protéger des rigueurs de la nuit.
Deux hommes se tenaient sur le côté de la grande hutte, deux autres à l’entrée de la petite, aucun ne bougeait.
Aucune stratégie ne lui venant dans son esprit limité, il décida de s’élancer des qu’une ouverture se présenterait.
Étant donné la distance qu’il faudra parcourir à découvert il devra agir très vite.
Quelques minutes passèrent, puis les paires de gardes se rendirent vulnérable au même moment: engageant une conversation pour la première, commençant une patrouille pour la seconde.
Il bondit hors de sa cachette, un Kunaï entre les dents, et un autre à la main droite, il courait avec toute la discrétion et la légèreté dont il était capable(ces a dire comme un énorme ours).
Il avait parcouru la moitié du chemin quand les gardes devant l’entrée de la petite hutte finirent de parler et se séparèrent.
Gabrox s’immobilisa, sans regarder dans sa direction, un des gardes marcha jusqu’à l’angle de la hutte et le franchit.
Le second tournait lui tournait toujours le dos mais il pivotait lentement sur lui-même en scrutant les alentours.
Gabrox regarda la grande hutte, dont les sentinelles n’avait pas reparu.
Une trentaine de pas le séparait du garde c’était maintenant ou jamais. Ramenant son bras arrière, il lança son Kunaï de toutes ses force, emportait par son élan, il se plia en deux et vida tout l’air de ses poumons.
La lame se plante entre les omoplates de sa cible avec un bruit étouffé, il s’effondra sans gémir.
Gabrox atteignit la hutte au moment ou le second garde finissait dans faire le tour. Il se jeta sur lui sans lui laisser le temps de dégainer, et l’élimina avec une discrétion au moins égale à sa brutalité.
Il traîna les cadavres à l’écart et les dissimula de son mieux, ensuite il s’élança vers la grande hutte pour massacrer les deux dernier gardes, autour du bâtiment la terre s’était transformé en boue.
Gabrox, qui péchait par excès d’assurance plutôt que de grâce, réussit tout de même à y planter une botte.
Alors qu’il tirait dessus pour se dégager, la boue céda avec un bruit de succion, il perdit l’équilibre et tomba tête la première.
Son Kunaï lui échappa, le garde qu’il essayait de prendre par surprise fit volte face et écarquilla les yeux.
Gabrox tâtonna le sol à la recherche de son arme, comme elle était hors de portée, il saisit une pierre et la lança, le projectile atteignit l’autre homme sur la bouche lui fendant la lèvre et lui cassant quelque dents, mais surtout il bascula et s’écrasa au sol.
Gabrox se leva, repris son arme acheva son infortuné adversaire et pris son épée, il s’avança vers la dernière sentinelle. Le garde avait dégainé son arme, et para la première attaque. Ensuite se fut Gabrox qui resta sur la défensive, après quelque passe d’arme il dévia la lame de son Kunaï et lui plongea son épée dans la poitrine.
Les nouveaux cadavres furent traînés à l’écart et dissimulés.
La plus grande maison n’avait pas de fenêtres, sa porte n’était qu’une ouverture masqué par un drap en laine.
Il s’en approcha l’oreille au aguets et écarta prudemment le rideau.
A la pale lueur de l’aube qu’il laissa ainsi filtrer à l’intérieur, il découvrit des silhouettes endormies qui jonchaient le sol, se pressant sur quelques paillasses alignées contre le mur du fond, de nombreuses armes étaient éparpillées entre eux.
Retenant son souffle pour ne pas les réveiller, Gabrox battit lentement en retraite, un homme allongés prés de la porte s’agita dans son sommeil.
Gabrox s’immobilisa jusqu’à qu’il soit certain de pouvoir bouger sans danger, puis il lâcha le rideau et soupira de soulagement.
Il recula de quelques pas, le drap en laine se souleva, il s’aplatit précipitamment contre le mur de la hutte.
Un homme sortit, trop mal réveillé pour prêter attention à ce qui l’entoure, il fit quelques pas titubants et porta une main à sa ….. ,avec une expression de sérénité idiote, il projeta un jet d’urine fumante contre le mur.
Gabrox se jeta sur lui et passa un bras autour de son, il y eu une brève lutte pendant laquelle l’homme éclaboussa le pantalon et les botte de son agresseur.
D’une puissante torsion Gabrox lui brisa le cou.
Durant quelque seconde il repense au nombreux meurtres commis de la même façon et éprouva pour la première fois de sa vie une pointe de culpabilité.
Néanmoins il s’essuya les bottes sur le cadavre, maudissant silencieusement l’urine qui détrempait son pantalon.
N’ayant pas vue la fillette dans la grande maison il s’approcha de la petite et entendit un son régulier et sifflant qu’il mit quelques instants à identifier comme des ronflements.
Il entra dans pièce, il y avait trois occupants, deux d’entre eux était des bandits aasis par terre, dos au mur et jambes tendus, il semblait endormis.
Mais la troisième personne était la petite fillette tant recherché elle tourna les yeux vers lui, écarquilla les yeux mais contrairement a ce qu’il craignait, ne cria pas.
Gabrox s’approcha des deux hommes et égorgea le premier qui au moment de sa mort produisit un petit cri.
Cela réveilla le deuxième homme qui décéda immédiatement un Kunaï dans le cœur avec sur le visage un masque mélangent surprise et horreur.
Gabrox posa une main sur la bouche de l’enfant puis lui expliqua les raison de sa venu et enfin il détacha ses lien.
Après avoir demander à la fillette de se cacher dans des buissons prés de la hutte il entra dans la grande hutte, une épée dans un main et un Kunaï dans l’autre.
Bien que la hutte abritait une dizaine de bandit, Gabrox éprouvait un calme étrange proche de la sérénité, il l’attribua à sa concentration et au sentiment unique de plénitude qu’engendrai la proximité de la mort.
Il se mit immédiatement a massacrait tous les occupants de cette demeure avec une inexorable férocité, tranchant, découpant, ou poignardant tout ce qui ce trouvait sur le chemin. Une cacophonie de hurlements de jurons vint s’ajouter au chaos ambiant
La plupart des bandit moururent sans avoir put se relever, d’autres bondirent sur leur pied pour s’effondrais aussitôt.
Dans le fond certain parvinrent à former une organisation défensive, Gabrox avec une adresse étonnante élimina un ennemi sur sa droite, pivota et en éventra un autre sur sa gauche dans le même mouvement.
Il esquiva le coup de lance d’un autre adversaire, lui trancha les doigts sur le manche lui plongea son épée dans l’estomac avec une telle force que la pointe ressortit du dos du bandit et alla se planter dans le mur.
N’ayant pas le temps de libérait son arme il chercha un nouvel adversaire et lui abattit son énorme poing sur sa tête, lui brisant le crâne puis il lui prit son épée, fit volte face et coupa un autre adversaire en deux.
Bientôt il ne resta plus d’ennemi; c’est à ce moment la qu’arriva le chef de cette misérables bande. Celui ci tira sa grande épée étincelante, sur la lame de laquelle perlaient des éclairs de puissance. Ses intentions étaient évidentes, aussi Gabrox ne s’embarrassa pas de paroles, et dégaina à son tour son épée.
Le choc des armes explosa dans ce début de matinée. Les deux combattants, sans s’être jamais fréquentés, se connaissaient pourtant intimement. Ils avaient le même âge, avaient eu la même formation aux armes, peut-être avaient-ils même fréquenté les mêmes champs de bataille. Chacun avait cultivé sa force et sa souplesse, pris soin de ses armes et fourbi ses bottes secrètes, chacun avait passé ses nuits à combattre ses ennemis imaginaires. Leurs fureurs de vaincre étaient égales. Gabrox et le brigand portèrent chacun maint coups, et en reçurent autant. Ce denier abattit sa lame de toute la force que son bras contenait encore, et Gabrox para de la sienne, posant sa paume gauche sur le plat de son fer, à l’extrémité. Son arme était vaillante, mais elle n’était pas faite pour supporter ce genre de coups, une fissure se propagea, s’élargit, et la lame se brisa dans une gerbe de fragments d’acier. Le chef de bande eut un instant d’hésitation devant le développement de l’affaire, qui le favorisait soudain. Mais le Gabrox n’était pas désarmé pour autant, car l’épée avait cédé certe mais néanmoins désormais elle ressemblait a une longue dague. Les deux combattants étaient proches, trop proches, Gabrox n’hésita pas, lui, et jetant toutes ses forces dans ce coup qu’il savait être décisif, il enfonça ce qu’il lui restait de fer sous le plastron immaculé de son ennemi, perfora les mailles et remonta jusqu’au cœur.
Combattant expérimenté, il recula pour se mettre à l’abri des derniers coups du brigand, qui resta debout un instant, luttant pour conserver l’équilibre, puis finalement, tomba dans l’herbe, bras en croix, sans lâcher son épée.

Après avoir fouiller les cadavres des bandit pour prendre leurs objets de valeur, après avoir ramenait la fillette au village, Gabrox partit avec une bourse pleine de pièces d’or et surtout une nouvelle résolution.
En effet voir le bonheur du chef de village retrouvant sa fille lui à fait penser à sa propre famille massacré sous ses yeux.
Il avait depuis longtemps découvert le nom de l’homme qui avait tué ses parents mais jamais il n’a eu envie de se venger, aujourd’hui ça à changer
En effet il décida d’arrêter sa vie de mercenaire et de s’engager auprès d’un des villages shinobi afin de devenir plus fort et vaincre l’homme à l’origine de la mort de son clan; TSUKANE.

Le New Kage est Arrivé!!! Il est sympas ton rp. Un peut lourd (manque de dialogue) mais sinon il est bien!

TsuchiKage ca m'a l'air bon... mais... je pense que Mizukage ca serais mieux...^^ Iwa change en Kiri ^^ je m'occuppe de ça aujourd'hui.

Gabrox: Mizukage / Kiri Gakure no Sato

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